Monsieur Henri, je traduis Marguerite à ma manière
Séjournant à Lapalisse, dans l'Allier, il y a exactement cinq ans, dans mes pérégrinations estivales d'alors, je me suis amusé à reprendre à ma manière, il va de soi, quelques sculptures, qui m'avaient toujours intéressées d'examiner, un crayon à la main. Cela avait abouti à des esquisses, bien violacées par mon stylo, dont celle-ci:
Le pauvre Matisse, doit encore se retourner furieusement dans sa tombe, tellement cette couleur violine, prend des accents extrêmes, que l'on pourrait prendre, pour des taches de vin ordinaire.
Le pauvre Matisse, doit encore se retourner furieusement dans sa tombe, tellement cette couleur violine, prend des accents extrêmes, que l'on pourrait prendre, pour des taches de vin ordinaire.